C’est idiot mais ça colle à la peau
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Cie Yohan Durand
Théâtre municipal DucourneauPlace Dr Esquirol47000 - AgenTél. : 05.53.66.26.60Samedi 18 octobre18hTarif : De 9€ à 15€ |Tarif Tribu: 15€Durée : 45 minTout public dès 3 ans
Saisissant de virtuosité, un acrobate jonglant avec dextérité et humour nous réconcilie avec un art que beaucoup pensaient désuet : le diabolo.
C’est un voyageur un peu perdu qui se présente à nous, une petite valise en carton dans une main, un billet SNCF froissé dans l’autre.
Sa destination est inconnue, sait-il lui-même où il va ? Tout en finesse et en poésie, Yohan Durand nous embarque avec lui dans le train de la vie, celui dans lequel on monte sans toujours savoir où on arrivera.
Dès lors, nous voilà entraînés dans un périple inoubliable, au gré des épreuves et des joies de l’existence.
Croisant le diabolo, la danse, le théâtre (de rue), le mime et un brin de philosophie, l’acrobate virevolte, prend d’assaut le bitume, jongle de blagues hilarantes en prouesses insensées.
En réelle complicité avec le public, Yohan Durand défie avec un, deux ou trois diabolos, les règles de la pesanteur.
Au bout du voyage, chacun descend sur le quai, comme sidéré par tant de dextérité.
"Un spectacle époustouflant, tant par l’adresse et l’agilité du jeune homme à faire virevolter ses diabolos de couleur, que par sa chorégraphie et mise en scène inventive."
Le Journal du Centre
C’est un voyageur un peu perdu qui se présente à nous, une petite valise en carton dans une main, un billet SNCF froissé dans l’autre.
Sa destination est inconnue, sait-il lui-même où il va ? Tout en finesse et en poésie, Yohan Durand nous embarque avec lui dans le train de la vie, celui dans lequel on monte sans toujours savoir où on arrivera.
Dès lors, nous voilà entraînés dans un périple inoubliable, au gré des épreuves et des joies de l’existence.
Croisant le diabolo, la danse, le théâtre (de rue), le mime et un brin de philosophie, l’acrobate virevolte, prend d’assaut le bitume, jongle de blagues hilarantes en prouesses insensées.
En réelle complicité avec le public, Yohan Durand défie avec un, deux ou trois diabolos, les règles de la pesanteur.
Au bout du voyage, chacun descend sur le quai, comme sidéré par tant de dextérité.
"Un spectacle époustouflant, tant par l’adresse et l’agilité du jeune homme à faire virevolter ses diabolos de couleur, que par sa chorégraphie et mise en scène inventive."
Le Journal du Centre