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Agenda des sorties en Villeneuvois

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Marché de Sainte-Livrade

Le vendredi matin dans les rues de Sainte-Livrade-sur Lot, c'est jour de marché.L’un des plus apprécié si ce n’est LE plus apprécié de tout le Lot-et-Garonne. On y trouve de tout et à des prix abordables : fruits et légumes variés des producteurs locaux, produits du terroir ou artisanaux, vêtements, chaussures, bibelots, fleurs, etc. Un marché typique du Sud-Ouest en somme. Le nombre d'exposants avoisine les 180 en moyenne, ce qui en fait le deuxième plus grand marché du département.Le grand nombre de passants ce jour-là fait qu’il est parfois difficile de circuler sur la place Castelvielh et la rue nationale. L’affluence peut même doubler, voir tripler en été où prés de 250 producteurs ou commerçants ambulants déballent leurs produits, toujours dans une bonne ambiance ce qui permet de se rencontrer et maintenir le lien social et culturel de la ville.Un des aspects attachant du marché est le côté cosmopolite des clients ou des exposants : Europe, Asie, Maghreb… Une diversité qui reflète l'histoire atypique d’une ville multiculturelle. En effet Sainte-Livrade a été une terre d'accueil pour beaucoup : des Italiens qui ont fui le fascisme des années trente, des Espagnols anti-franquistes ou des Portugais anti-salazaristes, Pieds-Noirs ou harkis d'Algérie, jusqu'aux Anglais et Hollandais qui viennent s'y installer aujourd'hui. Ste-Livrade est célèbre aussi pour avoir accueilli, lors de la guerre d'Indochine en 1954, beaucoup de rapatriés français d’origine vietnamienne, qui ont recréé ici, en cette terre Gascogne, un petit bout de Vietnam.Forte de ses identités différentes, Sainte-Livrade n'en est pas moins fière d'être le berceau et LA Capitale du pruneau d'Agen, comme son nom ne l'indique pas. Sur le marché, on trouvera donc sur des étals des pruneaux cuits ou mi-cuits, du pur produit local.Un des moments forts de la ville de Sainte Livrade sur Lot.A ne pas rater en toutes saisons !Tous les vendredis de l’année de :de 8h00 à 12h30, l’étéde 8h30 à 12h00, l’hiver

Tous les
vendredis
Sainte-Livrade-sur-LotPlace Castelvielh

Marché de Sainte-Livrade

Marché

Ode à la nature : Rythmes et Couleurs

Du 14 mars au 6 juin 2025, le musée de Gajac met à l’honneur un artiste contemporain villeneuvois, le peintre et sculpteur Jean-Charles Viguié. À travers l’exposition d’une cinquantaine de ses œuvres, l’artiste invite le public à une ode à la nature et au monde vivant dont nous faisons partie.Le rapport à la Nature est une nécessité absolue pour Jean-Charles Viguié qui y puise ses forces. Le peintre-sculpteur demeure fortement animé par la chose vue. Les lieux, les espaces, les fragments de paysage végétal ou minéral, ces petits moments de vies entrevus, observés, réapparaissent un jour ou l’autre recomposés avec une incroyable vivacité dans ses toiles comme dans ses sculptures ou dans certaines créatures singulières « Les Membracides ».L’artiste invite le spectateur à pénétrer son monde intérieur là où le ciel et la mer ne font plus qu’un, où les oiseaux en cohorte s’agitent avec fracas, où les poissons se cachent dans les fonds sous-marins et où les roches des falaises se déchirent parfois violemment. Une nature en perpétuelle métamorphose habite l’œuvre de Jean-Charles Viguié.Rythme, couleurs, lumièreJean-Charles Viguié s’est créé de toutes pièces un univers complexe où son travail s’épanouit allant d’une figuration suggérée à une expression plus abstraite, basée sur un vocabulaire de signes. Son geste de peintre est alerte. Sa touche se développe avec aisance sur la toile et sa main donne naissance et densité à la matière terre.Avant de créer toile ou sculpture, l’artiste dessine beaucoup. Il accumule les notes plus ou moins poussées, sur des carnets de tous formats qu’il a toujours auprès de lui dans son atelier ou dans ses poches.Sa peinture est bien posée mais elle n’est ni léchée, ni figée. Jean-Charles Viguié, qui affectionne le jazz, insuffle toujours un rythme dans ses toiles. L’artiste ose des associations inattendues de tonalités qui captent le spectateur ou parfois le déroutent.Pour cet admirateur de Bonnard et Matisse, le passage à la couleur obéit essentiellement aux questions de lumière. Jean Bazaine, grand représentant de l’Art Abstrait, a écrit que certaines toiles « chantent ». Les tableaux, les pastels de Jean-Charles Viguié s’inscrivent dans cette affirmation tant les couleurs savamment agencées et imbriquées semblent donner naissance à une mélodie.En volume, une nature palpitante et puissanteLa sculpture de Jean-Charles Viguié est une suite logique de sa peinture. Les choses sont allégées, décantées, repensées au fil des décennies. Ces créations sculptées fonctionnent par superpositions et assemblages. Avec leurs surfaces douces, mais légèrement rugueuses, qui happent furtivement la lumière, avec leurs couleurs minutieusement placées, avec leurs poussées exubérantes, elles s’imposent par leur présence. Plus encore qu’en sa peinture, Jean-Charles Viguié fait ici œuvre de chercheur, d’inventeur. Il ose aller vers l’inconnu. Son œuvre est généreux, il sait agir sans dogme, s’annoncer sans théorie.L’artiste est présent dans différents musées : musée de la Céramique de Sèvres, musée de l’Hospice Saint-Roch d’Issoudun, musée de la Céramique de Valence en Espagne. Le musée de Gajac, quant à lui, conserve deux dessins couleurs, une sculpture et une toile datée de 1991, Au-dessous du volcan.En 2005, après 31 ans d’enseignement à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, Jean-Charles Viguié revient dans sa ville natale et y installe son atelier dans l’ancienne maison de l’éclusier. Ainsi en bordure du Lot, il jouit d’une inépuisable source d’inspiration et c’est donc tout un monde d’eau, de plantes, d’arbres qui sourdent de ses toiles, pastels, encres ou de ses sculptures. L’artiste célèbre une nature palpitante et puissante. Dans cette vision dynamique de notre environnement, il inclut les pierres et le temps long. Il magnifie aussi bien la végétation luxuriante des Antilles ou de la Méditerranée que les modestes arbres ou les nénuphars de son jardin.Le travail de Jean-Charles Viguié démontre une exceptionnelle cohérence et une liberté toujours accrue au fil de son parcours.

Jusqu'au
6 jui
Villeneuve-sur-LotMusée de Gajac

Ode à la nature : Rythmes et Couleurs

Exposition

En Attendant Bojangles

Molières 2018, 1 nominationC'est l'histoire d'un amour qui va au-delà de tout.Extravagant, léger, pétillant, nombreux sont les adjectifs qui accompagnent cette texte, dans lequel s'évertue à répéter le fils de ce couple : « Il faut mettre un coup de pied au cul de la raison ! »Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n'y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c'est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C'est elle qui n'a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l'inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.L'amour fou n'a jamais si bien porté son nom.Sublime adaptation du roman d'Olivier Bourdeaut. J'avais adoré le livre et avais peur d'être déçue au théâtre. Rien de tout cela : on passe du rire aux larmes en un rien de temps, les acteurs sont géniaux et la mise en scène super !Un couple déjanté nous entraîne dans sa folie sous le regard émerveillé de son fils. Une pièce à la fois touchante, joyeuse et humoristique interprétée par un trio d'acteurs de talent. On passe un très bon moment.Très belle pièce. Exprimant avec beauté le grain de folie de la bipolarité !

7
mai
Villeneuve-sur-LotThéâtre Georges-Leygues

En Attendant Bojangles

Théâtre

Ma Part d'Ombre

Vice-champion du monde de hip-hop, Sofiane Chalal nous confie en dansant son rapport au corps. Un véritable combat contre les préjugés !Sur scène, un corps hors norme défie les codes de la danse et les lois de la physique.Danseur et chorégraphe, Sofiane Chalal l’assume sans ambages : « On me rencontre deux fois, comme si mon corps prenait toute la place, même la mienne. » Ce rapport presque schizophrénique est le sujet de Ma part d’ombre, son premier spectacle en tant que chorégraphe et premier solo.Presque un rite initiatique, où il est question de sujets très personnels, donc universels : le corps comme allié et ennemi, et le paradoxe, parfois stimulant, parfois douloureux, entre ce que nous percevons de nous-mêmes et ce que voient les autres. Sofiane Chalal les aborde avec beaucoup de singularité et sa gestuelle unique qui croise l’énergie du hip hop et la fragilité du mime.Sofiane Chalal est un danseur d'exception : à douze ans il se produit en première partie de Franck II Louise à La Villette, il est champion du monde au Red Bull Dance Your Style 2018, les compagnies et les crews se l'arrachent. Fluide et précis, sensuel, ultra coordonné et pouvant se désarticuler totalement, c'est un virtuose de premier plan. Mais c'est aussi un artiste hors-norme.Son corps atypique défie et surpasse les codes chorégraphiques et les lois de la pesanteur. Dit autrement : il est gros. Quand il entre sur le plateau, on commence par se moquer de lui. Cette dualité entre sa vie sur scène et son allure en ville est le sujet de "Ma part d'ombre". Une histoire intime qu'il nous raconte avec humour et sensibilité. Mélangeant le geste dansé à la parole, il tord le cou aux idées reçues.Car, en définitive, son physique reste la pièce maîtresse de son parcours.

28
mai
Villeneuve-sur-LotThéâtre Georges-Leygues

Ma Part d'Ombre

Danse

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