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Agenda des sorties en Villeneuvois

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Oxydation 2023

Le musée de Gajac de Villeneuve-sur-Lot attentif à l’art contemporain et à ses multiples facettes invite le sculpteur–peintre Jean-Pierre Rives du 30 juin au 29 octobre 2023, dans le cadre de l’exposition « Jean-Pierre Rives – Oxydation 2023 ».  Jean-Pierre Rives est un artiste rebelle, instinctif, et cependant réservé, qui depuis plus de trois décennies, poursuit dans son atelier de Port-Grimaud, sa quête de l’instant magique, son rêve de sculpteur- peintre. Meilleur joueur de rugby de son époque, artiste comptant aujourd’hui, parmi les sculpteurs-peintres de son temps, Jean-Pierre Rives a su créer son propre langage artistique après avoir reçu l’enseignement de Ladisllas Kijno et d’Albert Féraud, respectivement pour le dessin et la sculpture. Un beau jour, avec une rare intensité, l’art s’est emparé de cet homme natif de Toulouse. Avec des outils, ses mains et des matériaux peu communs, le métal (les IPN rouillés) et le goudron, Jean-Pierre Rives réalise des sculptures et des toiles souvent monumentales qui n’appartiennent qu’à son imagination. Ses œuvres sculptées et peintes étonnent, dérangent parfois et s’affirment comme un défi à la logique. Au travers de ses créations, l'artiste s’évade dans une autre dimension, questionne son époque, et d’une certaine manière s’interroge sur sa propre existence. L'exposition présente une sélection de huit tableaux et de trois sculptures dans la salle d'exposition temporaire.Cette manifestation s'accompagne d'un parcours de sculptures sur les deux rives de la ville.Cinq sculptures monumentales offertes au regard des passants, petits et grands.

Jusqu'au
29 oct
Villeneuve-sur-LotMusée de Gajac

Oxydation 2023

Exposition

Marché de Sainte-Livrade

Le vendredi matin dans les rues de Sainte-Livrade-sur Lot, c'est jour de marché.L’un des plus apprécié si ce n’est LE plus apprécié de tout le Lot-et-Garonne. On y trouve de tout et à des prix abordables : fruits et légumes variés des producteurs locaux, produits du terroir ou artisanaux, vêtements, chaussures, bibelots, fleurs, etc. Un marché typique du Sud-Ouest en somme. Le nombre d'exposants avoisine les 180 en moyenne, ce qui en fait le deuxième plus grand marché du département.Le grand nombre de passants ce jour-là fait qu’il est parfois difficile de circuler sur la place Castelvielh et la rue nationale. L’affluence peut même doubler, voir tripler en été où prés de 250 producteurs ou commerçants ambulants déballent leurs produits, toujours dans une bonne ambiance ce qui permet de se rencontrer et maintenir le lien social et culturel de la ville.Un des aspects attachant du marché est le côté cosmopolite des clients ou des exposants : Europe, Asie, Maghreb… Une diversité qui reflète l'histoire atypique d’une ville multiculturelle. En effet Sainte-Livrade a été une terre d'accueil pour beaucoup : des Italiens qui ont fui le fascisme des années trente, des Espagnols anti-franquistes ou des Portugais anti-salazaristes, Pieds-Noirs ou harkis d'Algérie, jusqu'aux Anglais et Hollandais qui viennent s'y installer aujourd'hui. Ste-Livrade est célèbre aussi pour avoir accueilli, lors de la guerre d'Indochine en 1954, beaucoup de rapatriés français d’origine vietnamienne, qui ont recréé ici, en cette terre Gascogne, un petit bout de Vietnam.Forte de ses identités différentes, Sainte-Livrade n'en est pas moins fière d'être le berceau et LA Capitale du pruneau d'Agen, comme son nom ne l'indique pas. Sur le marché, on trouvera donc sur des étals des pruneaux cuits ou mi-cuits, du pur produit local.Un des moments forts de la ville de Sainte Livrade sur Lot.A ne pas rater en toutes saisons !Tous les vendredis de l’année de :de 8h00 à 12h30, l’étéde 8h30 à 12h00, l’hiver

Tous les
vendredis
Sainte-Livrade-sur-LotPlace Castelvielh

Marché de Sainte-Livrade

Marché

Champ Magnétique

Champ magnétique, troisième édition, se propose de nourrir un débat contradictoire, en accueillant des invité.e.s venu.e.s d’horizons différents, des films en partage, toustes celles et ceux qui souhaitent exercer un esprit citoyen et curieux. Objectif : reprendre possession d’une parole engagée, plurielle, confrontante, non violente, oser le plaisir d’en découdre et d’apprendre de chacun.e.Cette année, Champ magnétique ressaisit le travail mené lors des Ateliers populaires du printemps sur le thème de « Se mobiliser à l’échelle locale face aux bouleversements écologiques ». Six ateliers invitaient pour des apports théoriques Anne Rumin et Renda Belmallem, doctorantes en théorie politiques, Marion Blancher, docteure agrégée en philosophie, enseignante, Isabelle Stengers philosophe, Pierre Madelin essayiste et traducteur, Sylvie Ollitrault, directrice de recherche au CNRS.Leurs contributions seront partagées lors de ce Champ magnétique et enrichies : prétexte à novelles rencontres et tout particulièrement à un repérage des actions, équipes, associations, collectifs qui mènent ici, en proximité, des actions engagées et mobilisatrices.Le cinéma encore une fois fera le lien et assurera des respirations de sens et de sensibilité.VENDREDI 29 SEPTEMBRE10 à 13h : Travail collectif associant des initiatives et des organisations lot-et-garonnaises impliquées à l’échelle locale. Sur invitation.15h : On est vivantsDocumentaire / 1h43 (2014, France-Belgique)Réalisé par Carmen CastilloUn film nécessaire, émouvant qui nous plonge dans une histoire politique et transnationale des luttes. De quoi est fait l'engagement politique aujourd'hui ? Est-il encore possible d'infléchir le cours fatal du monde ? C'est avec ces questions, dans un dialogue à la fois intime et politique avec son ami Daniel Bensaïd, philosophe et militant récemment disparu, que Carmen Castillo entreprend un voyage qui la mène vers ceux qui ont décidé de ne plus accepter le monde qu'on leur propose. Des sans domiciles de Paris aux sans terres brésiliens, des zapatistes mexicains aux quartiers nord de Marseille, des guerriers de l'eau boliviens aux syndicalistes de Saint Nazaire, les visages rencontrés dans ce chemin dessinent ensemble un portrait de l'engagement aujourd'hui, fait d'espoirs partagés, de rêves intimes, mais aussi de découragements et de défaites. Comme Daniel, ils disent: "L'histoire n'est pas écrite d'avance, c'est nous qui la faisons".17h : Débat21h : Norma RaeFilm – comédie dramatique / 1h50 (USA, 1979, reprise en 2011)De Martin RittAvec Sally Field, Beau Bridges, Ron LeibmanNorma Rae, divorcée et mère de deux enfants, est ouvrière du textile dans une petite ville du sud des Etats-Unis. A l'arrivée d'un délégué syndical de New York, elle se lance à ses côtés dans un combat contre le patronat et ce malgré l'hostilité générale. Un hommage aussi au cinéma américain et à la merveilleuse actrice Sally Field."Si le matériau est traité avec profondeur (...), le sérieux n'empêche pas des digressions fictionnelles inattendues dans le film social militant. (...) Une vibration des désirs politiques, sexuels et sentimentaux qui rend ce film social précieux."Les inrockuptiblesSAMEDI 30 SEPTEMBRE10 à 13h : Travail collectif associant des initiatives et des organisations lot-et-garonnaises impliquées à l’échelle locale.Sur invitation.15h : Des cailloux dans la chaussureDocumentaire / 57’ (France, 2023)Réalisé par Mickaël DamperonDes cailloux dans la chaussure retrace le combat palpitant de citoyens pour sauver leur village, et leur victoire au nom de la démocratie et la biodiversité. Ce documentaire est un outil de ralliement pour tous les amoureux de la nature !Aux portes du Vercors, les habitants de Saint-Nazaire-en-Royans découvrent qu’une carrière de roches massives veut s’installer sur la petite montagne surplombant leur village ; le mont Vanille. Abasourdi par le gigantisme du projet, se sentant trahi par les élus, le village se mobilise. Il y aura du travail, de l’énergie, des déconvenues… Chacun prenant part à sa manière au destin de son village, c’est un paysage politique nouveau qui se dessine. Bousculant les rouages bien huilés d’un système, cette lutte raconte l’urgence très contemporaine de se mêler enfin de ce qui nous concerne.17h : Débat21h : Pride Cinéma plein airFilm – comédie dramatique / 2h (Grande-Bretagne, 2014)De Matthew WarchusAvec Bill Nighy, Imelda Staunton, Paddy ConsidineEté 1984 - Alors que Margaret Thatcher est au pouvoir, le Syndicat National des Mineurs vote la grève. Lors de leur marche à Londres, un groupe d’activistes gay et lesbien décide de récolter de l’argent pour venir en aide aux familles des mineurs. Mais l’Union Nationale des Mineurs semble embarrassée de recevoir leur aide. Le groupe d’activistes ne se décourage pas. Après avoir repéré un village minier au fin fond du pays de Galles, ils embarquent à bord d'un minibus pour aller remettre l'argent aux ouvriers en mains propres. Ainsi débute l’histoire extraordinaire de deux communautés que tout oppose qui s’unissent pour défendre la même cause.De ce fait méconnu, Warchus (et son scénariste Stephen Beresford, dont il faut saluer la plume) tire une cartographie de la solidarité en temps de crise profonde et, sans nier la dimension très noire de son tableau, offre un film positif et galvanisantCinema TeaserTÉMOINS INVITÉSRaphaël PouyéFormé à Sciences Po et à l’Université de Yale, Raphaël Pouyé s’est spécialisé dans l’accompagnement des processus démocratiques à l’échelle internationale notamment pour le ministère des Affaires Etrangères et pour la Commission Européenne. Ce savoir, il l’a ensuite développé pour de nombreuses institutions comme la Banque Mondiale ou ONG comme The Democratic Society. Son expérience associe une approche critique et pratique à l’internationale, capable de nous éclairer sur les enjeux d’une démocratie qui se réinvente à l’échelle locale.Anne RuminDoctorante en théorie politique, Anne se concentre sur les imaginaires politiques des discours collapsologues et sur les liens entre crise environnementale et crise démocratique. Dans ce cadre, elle porte une attention particulière aux nombreux mouvements qui, à l'échelle internationale, lutte contre la destruction de l'environnement.Renda BelmallemDoctorante en théorie politique, Renda Belmallem analyse les luttes pour l'environnement du point de vue des minorités et décrit les conditions d'une adaptation des discours pour la production d'un commun et une convergence des luttes.Pierre MadelinPierre Madelin est un essayiste et traducteur. Il a étudié la philosophie à la Sorbonne avant de devenir traducteur spécialisé dans les "humanités environnementales".Depuis 2012, Pierre "Petul" Madelin vit et travaille à San Cristóbal de Las Casas dans l’État du Chiapas, au Mexique. Il est l'auteur de " La tentation écofasciste. Écologie et extrême droite".Marion Blancher Docteure agrégée en philosophie, elle enseigne à Agen. Ses points d'intérêts sont nombreux, elle se concentre particulièrement, avec nous, sur la place de l'émotion dans la mobilisation.

29 sep
au
30 sep
MonbalenLa maison forte

Champ Magnétique

Cinéma

Bertrand Belin + Basse Fidélité

Bertrand BelinChanson française/PopPersonnalité majeure de la scène française contemporaine, à la voix grave et lente si entêtante, Bertrand Belin creuse un sillon hautement singulier entre chanson, folk et pop.Effectuant un cheminement musical solo depuis le début des années 2000, Bertrand Belin s’est pleinement révélé comme auteur-compositeur-interprète à partir de son troisième album, Hypernuit (2010, Grand prix du disque de l’Académie Charles-Cros). Caractérisé notamment par un chant à peine plus que chuchotant, des paroles très littéraires (il est également romancier en plus d’être acteur et compositeur…) et des arrangements sophistiqués, son inclassable univers séduit un public de plus en plus large.Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire.C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes…Basse FidélitéChanson froide 80’sEt quoi de mieux que ces mots de Martial Jesus Solis pour vous le présenter : ça commence par une ligne de basse ultra mortelle. Y’a pas d’autre mot. Elle rend marteau. Sombre. Serrée. Groovy. Limpide… Elle est à peine soutenue par une boite-à-rythme aussi minimale qu’efficace – Poum/Tchak Poum/Poum/Tchak – Arrivent ensuite les notes de claviers. Juste deux ou trois. Mais ce sont les bonnes ! Et enfin la voix. Top cold wave ! C’est un amour entier pour les 80’s crépusculaires dont il est question ici. Celles de l’adolescence tourmentée. Celles des mèches de cheveux qui cachent le visage. Longue vie à Basse Fidélité !

6
oct
AgenLe Florida

Bertrand Belin + Basse Fidélité

Concert

Clavicule + NastyJoe

CLAVICULE (35)Clavicule a beau se présenter comme un quatuor punk garage, une oreille attentive saura déceler qu’ils sont bien plus que cela. Héritier de la versatilité et de la liberté sauvage du Rock, le groupe croise les influences de chacun de ses membres dans tous leurs morceaux et compose pour que le tout soit plus que la simple somme de ses parties. Sortis des tréfonds d’un rade aux origines douteuses, les Rennais de Clavicule proposent un rock garage influencé par la grouillante scène californienne (Ty Segall, Meatbodies, FIDLAR…) auquel s’ajoutent de larges influences allant du punk au psyché, en passant par le surf ou le grunge. Leur amour des mélodies orientales et des riffs percutants a donné naissance à Garage is Dead, leur premier album sorti en juin 2020 chez le label rennais Beast Records.Ils ont ensuite enchaîné les concerts pour faire vivre cet album, ce qui leur a valu leur ticket d’entrée au sein de la scène rock française actuelle et de jouer aux côtés des excellents Johnny Mafia, Mad Foxes ou We Hate You Please Die, ainsi qu’en première partie de groupes internationaux.Le deuxième album, FULL OF JOY, est sorti le 10 mars 2023, sur les labels A Tant Rêver du Roi & Le Cèpe Records.NASTYJOE (33)Connu pour avoir maintes fois souillé par ses prestations scéniques les caves de la capitale mondiale de la vinasse, NASTYJOE se place entre Post-punk et indie rock. Le plus simple est de vous imaginer une immense partouze anglaise schizophrènique qui sort de vos enceintes. Foutez les Arctic Monkeys dans une pièce remplie de bougies parfumées, et faites rentrer le côté amer de Shame, le romantisme de Fontaines DC, la raideur des guitares de Television et la brutalité soyeuse d’IDLES. Poussez-les à copuler copieusement, et vous obtiendrez NASTYJOE, aussi romanesque que féroce, aussi sensible que foudroyant.

13
oct
FumelPavillon 108

Clavicule + NastyJoe

Concert

Fête de la science

En collaboration avec le CNES, dans le cadre du 240e anniversaire du premier vol habité en montgolfière.Œuvre emblématique du Musée des Beaux-Arts d’Agen, "Le Ballon" de Francisco de Goya (atelier) représente une montgolfière s’élevant dans le ciel au-dessus d’un paysage montagneux et d’une foule de personnages qui tente de suivre sa trajectoire. Ce tableau fait écho à l’enthousiasme des premières ascensions en montgolfière concrétisé par la diffusion du thème du ballon aérostatique dans les arts plastiques.En effet, il y a 240 ans que les frères Joseph et Étienne Montgolfier permirent à l’homme d’accéder à un rêve : voler. Dans la cour du château de Versailles, le 19 septembre 1783, le premier ballon habité (un coq, un canard et un mouton) exécute un vol de 600 m et parcourt 3,5 km. L’expérience est renouvelée, avec des hommes devant le Dauphin au château de La Muette, le 21 novembre de la même année.La Fête de la science est l’occasion de se replonger dans l’ambiance euphorisante d’une si extraordinaire découverte, dont les principes fondamentaux ont été découverts dans l’antiquité, et de voir comment cela s’est traduit à travers l’art mais également de comprendre comment un tel procédé a évolué aujourd’hui.C’est au IIIe siècle avant J.-C. qu’Archimède, alors âgé de 22 ans et ingénieur à la cour de Hieron II, tyran de Syracuse, pose les principes d’une force qui portera par la suite son nom. Cette découverte d’abord destinée au domaine maritime sera par la suite appliquée au génie civil et à l’aéronautique, montrant ainsi son universalité.Fondés sur le principe d’Archimède, les ballons furent les premiers objets à voler dans le ciel, avant d’être rejoints cent ans plus tard par le premier planeur, qui reposait sur le principe des forces aérodynamiques, puis, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, par les premières fusées, reposant sur le principe de l’action et de la réaction (troisième loi de Newton).Qu’ils soient gonflés à l’air chaud, à l’hydrogène ou à l’hélium, les ballons ont occupé une place importante dans le domaine militaire, ainsi que dans les transports avant de se faire supplanter par l’avion. Mais bien loin d’avoir été relégué aux oubliettes par l’avion et en s’inscrivant dans une démarche de sobriété énergétique très actuelle, le plus léger que l’air ouvre de nouveaux horizons en matière de recherche scientifique, qui nous mènent jusqu’à la frontière de l’espace… et même au-delà.C’est ainsi que le CNES, principalement connu pour ses activités spatiales reposant sur la conception des lanceurs, des satellites et des sondes spatiales, est devenu un des acteurs majeurs de l’exploration de la terre grâce aux ballons, en développant des types de ballons et des techniques de vol complexes. Par des lâchers de ballons tout autour du globe (Canada, Brésil, Australie Suède… ou tout simplement en France, à Aire-sur-l’Adour), cette activité, en plein développement au CNES permet de réaliser chaque année de nombreuses expériences scientifiques (variables météorologiques, chimie atmosphérique, biologie, rayonnement cosmiques, observations astronomiques…) afin de mieux comprendre le monde qui nous entoure et son évolution.Avec Nathalie Lacroix, médiatrice, et Stéphane Lacroix, chargé d'affaires à Capgemini, en prestation pour le compte du CNES.Réservation obligatoire : 05 53 69 47 23

14
oct
AgenMusée des Beaux Arts

Fête de la science

Conférence

It It Anita + The Guru Guru

IT IT ANITARock noise – BelgiqueLes rockeurs belges de IT IT ANITA nous régalent. Définitivement hissés au rang de référence alternative rock depuis leur dernier album Laurent (2018) et la tournée de 150 concerts en Europe qui a suivi, les quatre garçons enfoncent le clou avec Sauvé, un nouvel album en noise massif enregistré en France à l’été 2020.Si les racines d’ IT IT ANITA sont ancrées dans le noise des années 90 (Les influences fondatrices fréquemment citées sont Pavement, Grandaddy, Weezer, Mogwai, Sonic Youth, Dinosaur Jr., Hot Snakes, etc.), le trio originaire de Liège transcende les catégories avec un son puissant et sincère. Guitares bruitistes et rythmiques oppressantes sont au programme de prestations scéniques sans concession où se mêlent tension et relâchement, où se disputent énergie brute et subtilité.Pour les dix ans du groupe, leur cinquième album prend de nouveaux risques, sans jamais trahir l’essence même de ce qu’est It It Anita.THE GURU GURUIndie-math-noise – BelgiqueTHE GURU GURU s’adonne avec bonheur à l’art rock express et profond depuis 2012, combinant des guitares fiévreusement anguleuses avec des poly-rythmes désordonnés, le tout complété par des voix erratiques et déséquilibrées.Alors que les influences proviennent de Queens of the Stone Age, Radiohead, The Mars Volta, SOULWAX, The Jesus Lizard et Andy Kaufman, les règles de l’indie-math-psycho-noise sont déchirées, ce qui donne des chansons erratiques qui, d’une manière ou d’une autre, semblent se transformer en vers d’oreille frétillants. Le groupe ne peut être classé dans un seul genre.

4
nov
AgenLe Florida

It It Anita + The Guru Guru

Concert

Sage/PASsage – se conformer ou pas

Le collectif L’OEil Qui Gratte propose dans cette exposition, d’explorer les chemins entre le convenu et la transgression, amenant le visiteur à déambuler autour des oeuvres qui se jouent des codes, des formes et des matières.Opérer des désordres, contrarier le regard, bousculer le sens au travers de volumes, suspensions, peintures, sculptures, installations, son et créer un lien avec celui qui regarde.Les 4 artistes sont réunies par une dynamique d’expérimentation, de création, par des passions communes et une vision sensible d’un monde humain. Même si les pratiques artistiques sont différentes, leurs oeuvres restent complémentaires, singulières et plurielles.Fouiller l’humain, Sylvie Malo explore l’interaction entre homme et société. Des récits recomposés, des visages usés, grattés, dégoulinés. Changer d’échelle, détourner et reformuler les événements et surtout questionner.Par le décadrage, l’ampleur du brossage, la sculpture du vide ou encore l’usage de supports improbables, Frédérique Charlemagne incite le spectateur à jouer avec sa perception du sujet. Élan, pesanteur, déséquilibre, statique ou mouvement permettent une immersion totale dans chaque oeuvre. La drôle de figuration proposée par Anne Malivert ne cherche ni à séduire ni à ressembler. Des personnages singuliers se frayent un passage vers un espace ludique oscillant entre caricature et graffiti, perturbant parfois les perceptions et les repères habituels. Entre audace et prudence, impertinence et raison, Marie-Joelle Brosson propose une interrogation du monde présent en explorant la mémoire intime ou collective, celle des anonymes, des oubliés. Le plus souvent des femmes. Du passage à l’acte au passage du temps, les matériaux du passé retrouvent une actualité qui prend corps.

9 nov
au
6 jan
MarmandeMusée Albert Marzelles

Sage/PASsage – se conformer ou pas

Exposition

Blanche

Compagnie Hecho en casaBlanche est née un matin d’hiver.La lumière qui pénètre par les persiennes de la chambre ce 24 décembre 1922 lui donnera son prénom.Il faudra un long moment avant que sa mère ne la prenne dans les bras, en faisant la promesse de ne pas trop l’aimer. Son coeur en peine a laissé l’amour s’envoler… À la porte, le petit garçon qui sera son grand frère a lui aussi des larmes dans les yeux.Aujourd’hui, Blanche est là !Elle a un certain âge, un âge où l’on se retrouve seule, en maison de retraite, avec une mémoire vacillante.Dans le cadre d’un projet intergénérationnel, elle vient cuisiner. Dans l’ordre et le désordre de sa mémoire, ses souvenirs ressurgissent : ceux de son enfance à la ferme, de ses amours, de son émancipation à Paris.C’est une fresque du XXe siècle teintée de ruralité, d’Algérie, de zazous, de musique, et traversée par les deux guerres.De sa naissance à son dernier souffle, bribes et morceaux de vie nous parviennent et nous racontent une odyssée.Celle de sa vie. La vie de Blanche.Paroles de spectateurs :« Époustouflant, très enrichissant, d’une beauté incroyable, c’est magnifique, on passe du rire aux pleurs, scénographie superbe, ça touche toutes les générations, jeu des acteurs précis, vraie page d’histoire, très réussi et même très impressionnant d’un point de vue créatif et artistique, je suis de la campagne et j’ai revu ma grand-mère, un enchantement, je n’ai qu’un regret c’est que ma mère ne pourra pas la voir… »

17
nov
MarmandeThéâtre Comoedia

Blanche

Théâtre

Matt Elliott + The Healthy Boy vs Tereglio

Matt ElliottFolkQue peut construire quand tout est à terre, quand tout est effondré, idéaux et croyances, sens du commun et de la communauté ? Il ne reste alors qu’à encore et toujours se surpasser, à creuser encore et toujours les mêmes obsessions, à les apprivoiser, à les domestiquer.Bien sûr, on aurait envie de ranger Matt Elliott dans un genre ou un autre mais plus qu’une école ou un style, l’anglais s’inscrit finalement plus dans un héritage, une tradition plutôt, celle de la complainte, du chant de lamentation qui court de continent en continent, de pays en pays. Des chants rébétiques grecs en passant par le Fado portugais, le Blues du Delta, les fanfares des balkans, la mélancolie Yiddish ou encore la Saudade capverdienne, on entend tout cela dans la musique de Matt Elliott, le chant d’un déraciné, d’un apatride, d’un être hors le monde.Il y a chez Matt Elliott cette force d’expansion, cette capacité à enlever les scories, les parasites qui perturbent pour ne garder que l’essentiel, l’émotion ni brute ni forte, non, l’émotion réelle.The Healthy Boy vs TereglioFolkEnfants d’un autre temps, The Healthy Boy (aka Benjamin Nerot) et Tereglio (aka Nicolas Puaux) continuent en 2022 à chanter des chansons accompagnés de leur seule guitare.Instrument électrique et voix sépulcrale pour The Healthy Boy, guitare acoustique et voix diaphane chez Tereglio. Pourtant, ces deux-là aiment à malmener l’essence folk associée à ce type d’orchestration.Chez eux, ce sont les fantômes d’Arvö Part, Smog ou Satie qui planent et les musiciens partagent le même désir de soustractif, de non-dit, de musique par empreinte. Un éloge à la lenteur (parfois), à la profondeur et au vide résonnant (souvent).Après une quinzaine de concerts partagés en plateau, ils décident enfin de mêler leurs répertoires et de façonner un set commun où l’univers de l’un répondra à celui de l’autre. Une correspondance musicale et interactive faisant dialoguer ou s’opposer en souplesse les chansons entre elles.Et l’on pense alors à une conversation à voix basse que partageraient Tom Waits et Nick Drake.

24
nov
AgenLe Florida

Matt Elliott + The Healthy Boy vs Tereglio

Concert

Âmes fleurs

Fanny Gillequin crée des oeuvres qui témoignent de la fragilité du monde et des civilisations. Son regard oscille entre émerveillement et indignation. L’artiste cherche à reconstruire ce qui a disparu et à mettre en valeur ce qui doit perdurer. Au-delà du constat alarmant de l’état du monde actuel, elle nous invite à plonger dans l’observation attentive, comme pour mieux nous sentir partie du tout.Son combat est de rappeler aux humains leur responsabilité dans la préservation du patrimoine culturel et de la nature. Chaque projet commence par une phase de recherche approfondie car elle veut traiter avec justesse les sujets qu’elle aborde. Prendre ce temps-là, lui permet de partager des informations parfois difficilement accessibles et de mettre en lumière des situations obscures.Dévastée par les images violentes en flux continu du monde moderne, Fanny Gillequin a opté pour un style miniature et coloré. Il y a dans ses dessins comme une petite histoire de l’Anthropocène. Pour s’exprimer, elle s’est instinctivement tournée vers le dessin et la peinture et a ainsi développé un style détaillé tout en dualité. Au premier abord ses oeuvres semblent paisibles, poétiques et pleines de douceur. Pourtant en se rapprochant ondécouvre l’aspect plus sombre de son art. En effet, pourvoir l’horreur, il faut s’approcher, et pour la comprendre il faut lire, c’est ce que l’artiste semble vouloir nous dire.Ressentir le moment de basculement et saisir l’importance de ces pertes pour l’humanité. Si le dessin est son premier amour, la sculpture l’a toujours accompagnée.Elle explore actuellement la taille de pierres semi-précieuses et souhaite mettre en avant avec sa minutie habituelle, la beauté et la fragilité du monde qui nous entoure.

12 jan
au
2 mars
MarmandeMusée Albert Marzelles

Âmes fleurs

Exposition

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