Il n’y a pas de Ajar
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Delphine Horvilleur | Johanna Nizard | Arnaud Aldigé
Théâtre municipal DucourneauPlace Dr Esquirol47000 - AgenTél. : 05.53.66.26.60Mardi 31 mars 202620hTarif : De 12€ à 26€ | - de 18 ans : 9€Durée : 1h25Tout public dès 14 ans
Avec Il n’y a pas de Ajar, texte théâtral à succès nommé aux Molières (2023), le théâtre de Delphine Horvilleur nous invite à rêver, à croire en l’autre et à inventer des ponts sur lesquels danser.
Mais qui est donc ce mystérieux Abraham Ajar ? Rien de moins que le descendant de papier de l’écrivain Romain Gary et de son double littéraire Emile Ajar, inventé par Delphine Horvilleur, autrice, conteuse, journaliste et rabbin.
Fascinée par le maître de la supercherie littéraire, double lauréat du Prix Goncourt, elle crée dans son sillage son fils imaginaire, qui nous interpelle du fond de son « trou juif ». Dans ce monologue à la plume acérée, Abraham nous ouvre les portes de l’univers de Romain Gary et célèbre le pouvoir des livres, capables de construire et de transformer les êtres.
Capable de toutes les métamorphoses, la comédienne Johanna Nizard incarne, avec une verve désopilante, ce personnage de farce théâtrale qui interroge la notion d’identité et tous les pièges qui en découlent.
"Un texte fort, une interprétation magistrale."
La Terrasse
Mais qui est donc ce mystérieux Abraham Ajar ? Rien de moins que le descendant de papier de l’écrivain Romain Gary et de son double littéraire Emile Ajar, inventé par Delphine Horvilleur, autrice, conteuse, journaliste et rabbin.
Fascinée par le maître de la supercherie littéraire, double lauréat du Prix Goncourt, elle crée dans son sillage son fils imaginaire, qui nous interpelle du fond de son « trou juif ». Dans ce monologue à la plume acérée, Abraham nous ouvre les portes de l’univers de Romain Gary et célèbre le pouvoir des livres, capables de construire et de transformer les êtres.
Capable de toutes les métamorphoses, la comédienne Johanna Nizard incarne, avec une verve désopilante, ce personnage de farce théâtrale qui interroge la notion d’identité et tous les pièges qui en découlent.
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Bord de scène à l'issue de la représentation avec l’équipe artistique.
"Un texte fort, une interprétation magistrale."
La Terrasse