Scènes de la vie conjugale
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Ingmar Bergman | Christophe Perton
Théâtre municipal DucourneauPlace Dr Esquirol47000 - AgenTél. : 05.53.66.26.60Vendredi 15 mai 202620hTarif : De 22€ à 37€Durée : 1h45Tout public dès 16 ans
Marianne et Johan incarnés par deux comédiens éblouissants, Romane Bohringer et Stanislas Nordey, sont mariés depuis dix ans. Une journaliste cherche à percer le secret de leur bonheur rayonnant mais leurs réponses semblent indiquer une sourde insatisfaction.
En 1973 Ingmar Bergman crée pour la télévision Scènes de la vie conjugale, un récit en six épisodes disséquant au scalpel corps et âmes d’un couple modèle de la classe moyenne fondé sur les conventions bourgeoises de l’amour.
Le retentissement est tel que lors de sa diffusion le pays tout entier s’enferme face au petit écran pour suivre l’histoire de Marianne et Johan, au point qu’à l’heure dite, les rues des villes sont désertées, chacun se projetant dans le maelstrom décrivant l’implosion de ce couple d’apparence idéale.
Ce que Bergman fait surgir à l’écran, c’est la vérité de ce qui se joue entre un homme et une femme.
Il donne ainsi au mari et à l’épouse, les mots pour dire ce qu’ils éprouvent, pour parler de sentiments et de sexe.
Crûment, magnifiquement, horriblement.
C’est le grand déballage, comme à la maison, entre les déchirements et un humour ravageur.
Sans cesse, ce récit fondé sur la puissance de ses dialogues, nous tend un miroir.
On y reconnaît nos splendeurs et nos misères conjugales, éclairées d’une lucidité impitoyable et d’une humanité immense.
En 1973 Ingmar Bergman crée pour la télévision Scènes de la vie conjugale, un récit en six épisodes disséquant au scalpel corps et âmes d’un couple modèle de la classe moyenne fondé sur les conventions bourgeoises de l’amour.
Le retentissement est tel que lors de sa diffusion le pays tout entier s’enferme face au petit écran pour suivre l’histoire de Marianne et Johan, au point qu’à l’heure dite, les rues des villes sont désertées, chacun se projetant dans le maelstrom décrivant l’implosion de ce couple d’apparence idéale.
Ce que Bergman fait surgir à l’écran, c’est la vérité de ce qui se joue entre un homme et une femme.
Il donne ainsi au mari et à l’épouse, les mots pour dire ce qu’ils éprouvent, pour parler de sentiments et de sexe.
Crûment, magnifiquement, horriblement.
C’est le grand déballage, comme à la maison, entre les déchirements et un humour ravageur.
Sans cesse, ce récit fondé sur la puissance de ses dialogues, nous tend un miroir.
On y reconnaît nos splendeurs et nos misères conjugales, éclairées d’une lucidité impitoyable et d’une humanité immense.